[Rp ouvert à tous] Et hop plus de Princesse...
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[Rp ouvert à tous] Et hop plus de Princesse...
[Fin de soirée dans la chambre de la Princesse]
Anne-Sophie entra dans sa chambre, une journée tout aussi effroyable que celles des derniers jours s'achevait dans le calme de la nuit. Elle laissa entré quelqu'un derrière lui demandant tout bas d'attendre quelques instants. La silhouette d'un garde se profila à l'entrée, il attendit sagement, pendant ce temps Anne-Sophie se dirigea vers le rideau. Elle sorti de derrière un sac, le sac qu'elle avait rempli d'affaires la nuit précédente. Elle revint avec le trainant légèrement il était trop lourd pour elle, elle le donna au garde en lui disant quelque chose toujours à voix basse sur le ton de la confidence. Ce dernier acquiesça de la tête et reparti discrètement avec le sac, Anne-Sophie referma la porte de sa chambre tout aussi discrètement, une expression étrange passa sur son visage.
La jeune fille se dirigea vers son armoire et commença à fouiller quand elle entendit une porte s'ouvrir et vit apparaitre la femme de charge. Elle s'arrêta net, cette dernière venait voir pourquoi Madame ne dormait pas et si elle avait besoin de quelque chose. La petite pesta intérieurement puis repris son calme voyant une opportunité de plus d'être tranquille, elle répondit donc.
Non je vous remercie, je vais très bien, je quitte le Roy à l'instant... Je l'ai informé que demain et le jour d'après je ne voulais voir venir personne dans cette chambre ou en sortir sans ma permission. Je ne veux que personne ne me dérange sous aucun prétexte sinon il aura la tête tranchée, sa majesté est au courant.
Oh oui, elle avait dit au Roy qu'elle passerait beaucoup de temps enfermée dans sa chambre, mais elle lui avait dit qu'elle voulait la ranger elle-même pour grandir. Pour savoir ce que c'était que de travailler, mais par contre qu'elle ne voulait pas être dérangée pendant sa tâche. Son père était crédule avec les femmes, elle le savait, elle avait bien observé le manège de la vache de Bourgogne. Par conséquent elle savait comment agir même si elles n'avaient pas les mêmes arguments pour le charmer. Anne-Sophie avait fait ce soir son plus gros mensonge, mais elle s'en moquait puisque ce serait le dernier aussi qu’elle lui ferait.
Quand la femme de charge fut sorti en comprenant bien qu'elle ne devait plus venir avant que la princesse l'y invite, Anne-Sophie repris son expédition dans son armoire. Elle savait précisément ce qu'elle cherchait, elle cherchait sa culotte, une fille ne porte pas de culotte, mais elle en possédait une pour faire du cheval ou jouer dans la nature avec son frère quand ils avaient encore des vacances communes au grand air de la campagne.
Elle la trouva enfin, elle chercha ensuite la chemise qui allait avec pour finir elle attacha ses cheveux en chignon, les protégea d'un foulard et termina par un chapeau. Ce qu'elle regrettait le plus c'est de ne pas pouvoir amener ses chapeaux qu'elle adorait tant. Elle passa ensuite sa chemise et sa culotte et termina bien entendu par ses bottes. Elle laissa quelques larmes coulaient sur son visage en repensant à tout ce qu'elle avait vu et entendu. En repensant aux adultes en qui elle croyait et qui la trahissait les uns après les autres Sa mère qu'elle ne voyait que peu, son père qui lui promettait d'oublier la vache Bourguignonne et le lendemain avait changé d'avis à nouveau. Le mari de la vache qui l'après-midi lui disait qu'il était d'accord avec elle, mais le soir même il embrassait son épouse à plaine bouche, Charles qui voulait mourir pour Elizabeth qui elle aussi l'avait déçue.
La jeune Princesse tira un bilan bien amer de tout cela, elle n'avait plus une seule personne sur qui elle pouvait compter à part son garde et ami François.
Elle s'installa à son pupitre et écrivit tout de même quelques mots
"je n'ai pas été enlevée, je suis partie, ce n'est pas un caprice Adieu".
Elle n'en rajouta pas, ça ne servait à rien, ce mot s'adressait à tout le monde ou à personne, il était froid et impersonnel comme les adultes peuvent l'être parfois.
Elle se leva, souffla les bougies et n'en garda qu'une pour pouvoir s'éclairer en sortant, elle prit tous les petits passages et les portes dérobées afin de ne pas être vue. Elle arriva enfin devant une porte de bois, elle imita le miaulement d'un petit chat, la porte s'ouvrit aussitôt faisant un bruit effroyable. Heureusement derrière elle vit apparaitre François sinon elle aurait peut-être pris peur, mais non elle lui sourit heureuse de le voir.
[A l’extérieur du château]
Bien allons y vite, personne ne doit nous voir et surtout pas vous, vous risquez gros François.
Anne-Sophie le suivit, plus loin dans le parc les chevaux étaient prêts à partir, elle sourit en voyant son sac déjà chargé. François l'aida à monter et libéra les chevaux puis montant sur le sien lui dit doucement.
Il lança les cheveux doucement à couvert il fallait sortir par le parc pour ne pas être vus avant de prendre la route normale. Oh non il ne voulait pas de mal à la Princesse, mais il ne voulait pas qu'il lui arrive quoique ce soit, c'est pour cela et parce qu’il avait été témoin silencieux de tous les événements, qu'il avait accepté le projet de la jeune fille. Elle voulait s'échapper, vivre une autre vie, il pensait à un caprice, mais le temps que cela durerait il serait son ombre, son ange gardien, son fidèle et dévoué serviteur. Elle serait la fille qu'il n'avait pas eu, choisissant le service de son Roy à celui d'avoir une femme et des enfants.
Ils continuèrent à parler longuement puis arrivèrent à la limite du château, ils passèrent un fossé sans trop de difficultés puis atterrirent sur une route. La jeune fille suivait son guide confiante, elle fit tout de même une prière silencieuse pour que tout se passe bien, jusqu'à ce qu'ils soient loin très loin.
Anne-Sophie entra dans sa chambre, une journée tout aussi effroyable que celles des derniers jours s'achevait dans le calme de la nuit. Elle laissa entré quelqu'un derrière lui demandant tout bas d'attendre quelques instants. La silhouette d'un garde se profila à l'entrée, il attendit sagement, pendant ce temps Anne-Sophie se dirigea vers le rideau. Elle sorti de derrière un sac, le sac qu'elle avait rempli d'affaires la nuit précédente. Elle revint avec le trainant légèrement il était trop lourd pour elle, elle le donna au garde en lui disant quelque chose toujours à voix basse sur le ton de la confidence. Ce dernier acquiesça de la tête et reparti discrètement avec le sac, Anne-Sophie referma la porte de sa chambre tout aussi discrètement, une expression étrange passa sur son visage.
La jeune fille se dirigea vers son armoire et commença à fouiller quand elle entendit une porte s'ouvrir et vit apparaitre la femme de charge. Elle s'arrêta net, cette dernière venait voir pourquoi Madame ne dormait pas et si elle avait besoin de quelque chose. La petite pesta intérieurement puis repris son calme voyant une opportunité de plus d'être tranquille, elle répondit donc.
Non je vous remercie, je vais très bien, je quitte le Roy à l'instant... Je l'ai informé que demain et le jour d'après je ne voulais voir venir personne dans cette chambre ou en sortir sans ma permission. Je ne veux que personne ne me dérange sous aucun prétexte sinon il aura la tête tranchée, sa majesté est au courant.
Oh oui, elle avait dit au Roy qu'elle passerait beaucoup de temps enfermée dans sa chambre, mais elle lui avait dit qu'elle voulait la ranger elle-même pour grandir. Pour savoir ce que c'était que de travailler, mais par contre qu'elle ne voulait pas être dérangée pendant sa tâche. Son père était crédule avec les femmes, elle le savait, elle avait bien observé le manège de la vache de Bourgogne. Par conséquent elle savait comment agir même si elles n'avaient pas les mêmes arguments pour le charmer. Anne-Sophie avait fait ce soir son plus gros mensonge, mais elle s'en moquait puisque ce serait le dernier aussi qu’elle lui ferait.
Quand la femme de charge fut sorti en comprenant bien qu'elle ne devait plus venir avant que la princesse l'y invite, Anne-Sophie repris son expédition dans son armoire. Elle savait précisément ce qu'elle cherchait, elle cherchait sa culotte, une fille ne porte pas de culotte, mais elle en possédait une pour faire du cheval ou jouer dans la nature avec son frère quand ils avaient encore des vacances communes au grand air de la campagne.
Elle la trouva enfin, elle chercha ensuite la chemise qui allait avec pour finir elle attacha ses cheveux en chignon, les protégea d'un foulard et termina par un chapeau. Ce qu'elle regrettait le plus c'est de ne pas pouvoir amener ses chapeaux qu'elle adorait tant. Elle passa ensuite sa chemise et sa culotte et termina bien entendu par ses bottes. Elle laissa quelques larmes coulaient sur son visage en repensant à tout ce qu'elle avait vu et entendu. En repensant aux adultes en qui elle croyait et qui la trahissait les uns après les autres Sa mère qu'elle ne voyait que peu, son père qui lui promettait d'oublier la vache Bourguignonne et le lendemain avait changé d'avis à nouveau. Le mari de la vache qui l'après-midi lui disait qu'il était d'accord avec elle, mais le soir même il embrassait son épouse à plaine bouche, Charles qui voulait mourir pour Elizabeth qui elle aussi l'avait déçue.
La jeune Princesse tira un bilan bien amer de tout cela, elle n'avait plus une seule personne sur qui elle pouvait compter à part son garde et ami François.
Elle s'installa à son pupitre et écrivit tout de même quelques mots
"je n'ai pas été enlevée, je suis partie, ce n'est pas un caprice Adieu".
Elle n'en rajouta pas, ça ne servait à rien, ce mot s'adressait à tout le monde ou à personne, il était froid et impersonnel comme les adultes peuvent l'être parfois.
Elle se leva, souffla les bougies et n'en garda qu'une pour pouvoir s'éclairer en sortant, elle prit tous les petits passages et les portes dérobées afin de ne pas être vue. Elle arriva enfin devant une porte de bois, elle imita le miaulement d'un petit chat, la porte s'ouvrit aussitôt faisant un bruit effroyable. Heureusement derrière elle vit apparaitre François sinon elle aurait peut-être pris peur, mais non elle lui sourit heureuse de le voir.
[A l’extérieur du château]
Bien allons y vite, personne ne doit nous voir et surtout pas vous, vous risquez gros François.
Anne-Sophie le suivit, plus loin dans le parc les chevaux étaient prêts à partir, elle sourit en voyant son sac déjà chargé. François l'aida à monter et libéra les chevaux puis montant sur le sien lui dit doucement.
J'ai suivi tous vos ordres Madame, dès que nous nous serons éloignés du château je vous expliquerais tout cela en détail. Pour le moment il nous faut encore être un peu discrets Madame.
Il lança les cheveux doucement à couvert il fallait sortir par le parc pour ne pas être vus avant de prendre la route normale. Oh non il ne voulait pas de mal à la Princesse, mais il ne voulait pas qu'il lui arrive quoique ce soit, c'est pour cela et parce qu’il avait été témoin silencieux de tous les événements, qu'il avait accepté le projet de la jeune fille. Elle voulait s'échapper, vivre une autre vie, il pensait à un caprice, mais le temps que cela durerait il serait son ombre, son ange gardien, son fidèle et dévoué serviteur. Elle serait la fille qu'il n'avait pas eu, choisissant le service de son Roy à celui d'avoir une femme et des enfants.
Madame, si nous rencontrions du monde, nous dirons que vous êtes ma fille, nous sommes de simples gueux à la recherche d'une vie meilleure... Surtout faites attention à cela appelez-moi père en public, pour ma part je vous appellerais ma blondinette cela évitera les problèmes et si vraiment on nous le demande vous direz Isabelle par exemple oui voilà Isabelle.
Ils continuèrent à parler longuement puis arrivèrent à la limite du château, ils passèrent un fossé sans trop de difficultés puis atterrirent sur une route. La jeune fille suivait son guide confiante, elle fit tout de même une prière silencieuse pour que tout se passe bien, jusqu'à ce qu'ils soient loin très loin.
Anne-Sophie de France- Messages : 9
Date d'inscription : 06/04/2011
Feuille de personnage
Nom et prénom(s): Anne-Sophie de France
Classe: Noble
Localisation: Paris (Comté d'Isle de France)
Re: [Rp ouvert à tous] Et hop plus de Princesse...
Cela faisait deux jours que la Princesse de France lui donnait ses dernières consignes, elle jouait l'intrigante et François fidèle tenta de la servir au mieux. Ses intentions étaient claires depuis qu'il était en charge d'être le garde personnel de la Princesse de France, il la suivrait jusque dans la mort et donnerait sa vie pour elle. Aussi, quand elle lui avait confié son plan en tant que confident et ami ce qui lui manquait cruellement, plutôt que la trahir ou pire la laissait faire sans surveillance, il avait donc choisi de la servir et d'être son ange-gardien. Ainsi suivant à la lettre les ordres et suggérant à la jeune fille des détails qu'elle avait oubliés il l'avait aidée dans son entreprise, comprenant un peu pourquoi la jeune demoiselle le faisait aussi. Effectivement ayant tout vu, tout entendu, il ne pouvait que comprendre la Princesse et son désir de fuir tout cela et voilà comment il se retrouvait en pleine nuit à faire sortir la fille du Roy en cachette de la ville. François savait qu'il risquait gros en faisant cela, mais il ne pouvait pas prendre le risque de la laisser partir seule et faire de mauvaises rencontres.
Il lui donna quelques recommandations pendant qu'ils étaient à cheval, de ne pas donner son prénom, trop repérable, de l'appeler père s'ils croisaient du monde etc.
François regardait partout, il était à l'affut de tout, il valait mieux être prudent même s'il se doutait que l'alerte n'avait pu être donnée et quelle ne le serait pas avant qu'eux soient en sécurité. Il approcha son cheval de celui d'Anne-Sophie et lui demanda tout bas
Madame, tout va bien ? Vous n'avez pas changé d'avis... Il est encore temps de faire demi tour personne n'a pu s'apercevoir de votre départ vous savez !
Il la regarda d'un air interrogateur
Il lui donna quelques recommandations pendant qu'ils étaient à cheval, de ne pas donner son prénom, trop repérable, de l'appeler père s'ils croisaient du monde etc.
François regardait partout, il était à l'affut de tout, il valait mieux être prudent même s'il se doutait que l'alerte n'avait pu être donnée et quelle ne le serait pas avant qu'eux soient en sécurité. Il approcha son cheval de celui d'Anne-Sophie et lui demanda tout bas
Madame, tout va bien ? Vous n'avez pas changé d'avis... Il est encore temps de faire demi tour personne n'a pu s'apercevoir de votre départ vous savez !
Il la regarda d'un air interrogateur
François- Messages : 2
Date d'inscription : 09/04/2011
Re: [Rp ouvert à tous] Et hop plus de Princesse...
Le Duc d'Orléans, des agents, il en avait partout. Nuit et jour, il y en avait toujours en poste, pour bien des missions différentes. Maintenant, c'était un Garde Épiscopal de l'Évêque de Paris, qui avait été comissionné par le Duc pour surveiller la Princesse. Le jeune sergent se demandait si c'était vraiment pour la sécurité que le Duc lui demandait cela, ou simplement parce qu'il n'aimait pas le comportement, avouons-le, légèrement impétueux de la jeune femme. Néanmoins, cela, il n'avait pas à y réfléchir, en autant qu'il recoive l'argent pour ses services.Il venait d'apercevoir la la fille du Roy en compagnie d'un homme inconnu, à la lisière du Château. Qui était cet homme? Où comptait-il amener la Princesse? Pourquoi?. Il était bien déterminé à répondre à ces questions. Il devait les suivre, mais discrètement, et de loin. Il avait bien pris soin de s'habiller en noir, les habits communs des Gardes Épiscopaux sont bien trop voyants, avec toutes leurs couleurs. Après avoir monté son cheval, il les suivit. Nul ne pouvait se douter de ce qu'il faisait. Ils étaient maintenant loins du Château. Que faisaient-ils? Ça n'inaugurait rien de bon... Il vit que l'homme glissait quelques mots à la Princesse, mais ne put les percevoir...
Philippe VI de France- Messages : 30
Date d'inscription : 01/04/2011
Localisation IG : Paris
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Nom et prénom(s): Philippe de France
Classe: Noble
Localisation: Paris (Comté d'Isle de France - Royaume de France)
Re: [Rp ouvert à tous] Et hop plus de Princesse...
Le jour se levait quand François et Anne-Sophie arrivèrent dans un hameau, le hameau natal de son serviteur, le jeune homme se tourna vers elle et lui dit tout bas
François se mit à siffler, la jeune fille sursauta en voyant deux hommes apparaitre sur les toits, une femme ouvrir la porte d’une écurie. François sauta de son cheval, attrapa les rênes des deux chevaux et les rentra. Anne-Sophie fut aidée à descendre du cheval, les gens présents lui firent des révérences, elle les salua.
Bonjour, merci à vous de m’accueillir chez vous… François est un ange gardien pour moi, je lui suis redevable.
François lui fit une révérence lui répondant qu’il ne faisait que son travail très modeste alors que c’était bien plus que cela.
Il lui montra le chemin pour entrer dans la maison, les deux hommes sur les toits y restèrent, la jeune Princesse fut surprise en entrant. Il est vrai quelle n’était pas habituée à la simplicité, elle regarda autour d’elle puis sourit à la maitresse de maison
Votre intérieur est coquet et chaleureux, je vous remercie encore pour votre accueil.
La princesse fut invitée à s’asseoir et prendre une collation, on lui présenta en même le reste de la famille de François.
Anne-Sophie rencontra donc le père, la petite sœur et la grand-mère de son ange-gardien.
Elle fut saluée et accueillie comme il se devait, la gentillesse et la simplicité la touchée profondément ça changeait des hypocrites habituels.
Anne-Sophie passa quelques heures en leur compagnie, la porte se rouvrit, François sorti accompagné, ils se dirigèrent vers l’écurie pour récupérer les chevaux. Le jeune garde aide la jeune fille à remonter, puis monta son cheval à son tour, le retour se fit sans un mot. La jeune fille avait le chapeau vissé sur la tête et se fit très discrète, ils arrivèrent devant la porte par laquelle Anne-Sophie c’était enfuie du château, François ouvrit la porte et laissa passer la jeune fille, ils prirent le même chemin que le matin. La jeune fille arrivant devant la porte de sa chambre leva à peine son chapeau, embrassa le garde lui faisant un signe de tête puis entra dans la chambre. Elle vérifia que la chambre soit vide puis s’installa sur le grand lit, la tête dans ses oreillers on ne voyait rien et le chapeau qu’elle avait toujours sur la tête finissait de cacher son minois. La mission de la jeune fille s’arrêter là, elle s’endormit sur le lit ainsi mise.
François quant à lui retourna par là où il venait d’entrer, ressorti et se dirigea vers la taverne pour boire un coup, un sourire satisfait au visage.
Madame, nous sommes arrivés…
François se mit à siffler, la jeune fille sursauta en voyant deux hommes apparaitre sur les toits, une femme ouvrir la porte d’une écurie. François sauta de son cheval, attrapa les rênes des deux chevaux et les rentra. Anne-Sophie fut aidée à descendre du cheval, les gens présents lui firent des révérences, elle les salua.
Bonjour, merci à vous de m’accueillir chez vous… François est un ange gardien pour moi, je lui suis redevable.
François lui fit une révérence lui répondant qu’il ne faisait que son travail très modeste alors que c’était bien plus que cela.
Il lui montra le chemin pour entrer dans la maison, les deux hommes sur les toits y restèrent, la jeune Princesse fut surprise en entrant. Il est vrai quelle n’était pas habituée à la simplicité, elle regarda autour d’elle puis sourit à la maitresse de maison
Votre intérieur est coquet et chaleureux, je vous remercie encore pour votre accueil.
La princesse fut invitée à s’asseoir et prendre une collation, on lui présenta en même le reste de la famille de François.
Anne-Sophie rencontra donc le père, la petite sœur et la grand-mère de son ange-gardien.
Elle fut saluée et accueillie comme il se devait, la gentillesse et la simplicité la touchée profondément ça changeait des hypocrites habituels.
Anne-Sophie passa quelques heures en leur compagnie, la porte se rouvrit, François sorti accompagné, ils se dirigèrent vers l’écurie pour récupérer les chevaux. Le jeune garde aide la jeune fille à remonter, puis monta son cheval à son tour, le retour se fit sans un mot. La jeune fille avait le chapeau vissé sur la tête et se fit très discrète, ils arrivèrent devant la porte par laquelle Anne-Sophie c’était enfuie du château, François ouvrit la porte et laissa passer la jeune fille, ils prirent le même chemin que le matin. La jeune fille arrivant devant la porte de sa chambre leva à peine son chapeau, embrassa le garde lui faisant un signe de tête puis entra dans la chambre. Elle vérifia que la chambre soit vide puis s’installa sur le grand lit, la tête dans ses oreillers on ne voyait rien et le chapeau qu’elle avait toujours sur la tête finissait de cacher son minois. La mission de la jeune fille s’arrêter là, elle s’endormit sur le lit ainsi mise.
François quant à lui retourna par là où il venait d’entrer, ressorti et se dirigea vers la taverne pour boire un coup, un sourire satisfait au visage.
Anne-Sophie de France- Messages : 9
Date d'inscription : 06/04/2011
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Nom et prénom(s): Anne-Sophie de France
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Localisation: Paris (Comté d'Isle de France)
Re: [Rp ouvert à tous] Et hop plus de Princesse...
Le Garde vit qu'ils étaient arrivés. Il devait savoir s'ils restaient là définitivement, ou pas... Si dans une journée ils n'étaient pas sorti, il irait avertir le Duc. Mais ce ne fut pas nécessaire. Après quelques heures à attendre, ils sortaient. Il se hâta donc de regagner le Château, il ne servait à rien de les suivre, il fallait à tout pris arriver avant eux. Il entra dans le Château Royal, et se dirigea jusqu'à la Chambre du Duc d'Orléans.
Monsieur le Duc, j'ai des nouvelles tout aussi intéressantes que troublantes.
Puis, la porte se referma.
Il sorti une trentaine de minutes plus tard, mettant un sac d'argant dans sa veste. Il était content, sa mission lui avait rapporté gros.
Merci beaucoup, Votre Altesse.
Monsieur le Duc, j'ai des nouvelles tout aussi intéressantes que troublantes.
Puis, la porte se referma.
Il sorti une trentaine de minutes plus tard, mettant un sac d'argant dans sa veste. Il était content, sa mission lui avait rapporté gros.
Merci beaucoup, Votre Altesse.
Philippe VI de France- Messages : 30
Date d'inscription : 01/04/2011
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Localisation: Paris (Comté d'Isle de France - Royaume de France)
Re: [Rp ouvert à tous] Et hop plus de Princesse...
[dans la chambre d'Anne-Sophie]
François se présenta en trombes par une porte dérobée dans la chambre d'Anne-Sophie, il savait qu'elle n'y était pas, mais qu'il y trouverait sa propre soeur. La supercherie avait fonctionné Camille avait prit la place d'Anne-Sophie et la jeune princesse avait tellement bien manoeuvré que personne ne s'en était aperçu.
Par contre, le destin avait choisi ce jour-là pour faire mourir le Roy de France, François avait eu une longue discussion avec le parrain d'Anne-Sophie Louis-Charles, il avait été obligé d'avouer que la jeune princesse qui était enfermée dans sa chambre n'était autre que Camille sa propre soeur. Que la princesse avait voulu cela pour lui laisser le temps qu'elle puisse fuir au loin de ces adultes qui lui avaient fait tant de mal, Camille devait prendre sa place jusqu'à qu'elle soit loin et en sécurité. Après la disparition pourrait déclarer, elle était persuadée qu'on ne la retrouverait jamais et qu'en ce fondant dans la masse du peuple c'était encore le meilleur moyen pour que son père ne la retrouvée jamais.
François l'avait soutenue pour la protéger simplement, mais il était temps de cesser, les événements tragiques ne laissaient plus le choix à personne il fallait faire revenir Anne-Sophie.
Camille une tragédie c'est produite, le Roy enfin le père d'Anne-Sophie est mort... Nous devons rentrer à la maison, nous devons refaire l'échange petite soeur. Je sais qu'elle va m'en vouloir à mort, mais je n'ai pas le choix ! Elle doit revenir, elle doit savoir pour son père aussi, allons y au plus vite.
François jeta le chapeau que Camille portait sur le lit pour qu'on ne la confonde plus avec Anne-Sophie et sortirent de la chambre par la porte principale, ils n'avaient pas le temps d'emprunter les petits chemins. Ils sortirent du château rapidement et montèrent à cheval, François lança vivement les chevaux pour rentrer au plus vite chez eux.
Quand ils arrivèrent, François sauta de cheval oubliant d'en descendre Camille et se mit à chercher dans toute la ferme ou pouvait être Anne-Sophie. Il appela, son père sorti et lui demanda ce qu'il se passait, François lui expliqua rapidement les choses puis pris la direction que son père lui avait indiquée.
Le jeune homme trouva la jeune princesse en train de traire les vaches avec sa mère, elles riaient toutes les deux. François en la voyant ainsi eu un pincement au coeur, il s'approcha, lui mit la main sur l'épaule et tout bas lui dit
Madame, un malheur est arrivé au château vous devez rentrer au plus vite et reprendre votre place.
François se présenta en trombes par une porte dérobée dans la chambre d'Anne-Sophie, il savait qu'elle n'y était pas, mais qu'il y trouverait sa propre soeur. La supercherie avait fonctionné Camille avait prit la place d'Anne-Sophie et la jeune princesse avait tellement bien manoeuvré que personne ne s'en était aperçu.
Par contre, le destin avait choisi ce jour-là pour faire mourir le Roy de France, François avait eu une longue discussion avec le parrain d'Anne-Sophie Louis-Charles, il avait été obligé d'avouer que la jeune princesse qui était enfermée dans sa chambre n'était autre que Camille sa propre soeur. Que la princesse avait voulu cela pour lui laisser le temps qu'elle puisse fuir au loin de ces adultes qui lui avaient fait tant de mal, Camille devait prendre sa place jusqu'à qu'elle soit loin et en sécurité. Après la disparition pourrait déclarer, elle était persuadée qu'on ne la retrouverait jamais et qu'en ce fondant dans la masse du peuple c'était encore le meilleur moyen pour que son père ne la retrouvée jamais.
François l'avait soutenue pour la protéger simplement, mais il était temps de cesser, les événements tragiques ne laissaient plus le choix à personne il fallait faire revenir Anne-Sophie.
Camille une tragédie c'est produite, le Roy enfin le père d'Anne-Sophie est mort... Nous devons rentrer à la maison, nous devons refaire l'échange petite soeur. Je sais qu'elle va m'en vouloir à mort, mais je n'ai pas le choix ! Elle doit revenir, elle doit savoir pour son père aussi, allons y au plus vite.
François jeta le chapeau que Camille portait sur le lit pour qu'on ne la confonde plus avec Anne-Sophie et sortirent de la chambre par la porte principale, ils n'avaient pas le temps d'emprunter les petits chemins. Ils sortirent du château rapidement et montèrent à cheval, François lança vivement les chevaux pour rentrer au plus vite chez eux.
Quand ils arrivèrent, François sauta de cheval oubliant d'en descendre Camille et se mit à chercher dans toute la ferme ou pouvait être Anne-Sophie. Il appela, son père sorti et lui demanda ce qu'il se passait, François lui expliqua rapidement les choses puis pris la direction que son père lui avait indiquée.
Le jeune homme trouva la jeune princesse en train de traire les vaches avec sa mère, elles riaient toutes les deux. François en la voyant ainsi eu un pincement au coeur, il s'approcha, lui mit la main sur l'épaule et tout bas lui dit
Madame, un malheur est arrivé au château vous devez rentrer au plus vite et reprendre votre place.
François- Messages : 2
Date d'inscription : 09/04/2011
Re: [Rp ouvert à tous] Et hop plus de Princesse...
[Dans la famille de François et Camille]
L'échange avait réussi, voilà plusieurs heures qu'Anne-Sophie avait quitté le château, elle se détendait lentement oubliant les évènements récents. Son côté enfantin enfin libre, elle riait en faisant la traite des vaches, elle avait appris à casser des oeufs plus tôt, des choses amusantes pour elle qui découvrait.
Quand elle sentit une main sur son épaule elle se tourna et vit la mine déconfite de François, son sang se glaça.
Qui a t'il ?
François quel malheur dites-moi ? Vite dites-moi !!!
Le jeune homme hésita un instant puis lui répondit
La jeune fille entendit les mots, ils résonnèrent dans sa tête, elle serra les poings, mais pas une larme ne sortie de son petit corps. Elle resta là quelques instants sans bouger puis se leva, elle s'adressa à la mère de François
Je vous remercie vous et votre famille pour tout ce que vous avez fait pour moi, je vous suis redevable et je m'en souviendrais soyez en surs.
Elle se retourna vers son garde et ami
Ne dites pas de bêtises, vous m'avez aidé et soutenue, l'heure est grave, vous savez que certains réclameront votre tête je les en empêcherais ! Pour le moment rentrons, nous pourrons arriver avant la nuit.
Elle salua tout le monde une dernière fois et monta à cheval attendant François qui la rejoignit vite. Ils partirent au galop direction le palais, le malheur et les ennuis, le passé la rattrapée encore une fois un peu trop vite.
Une fois arrivés, Anne-Sophie chargea François de donner des ordres pour les chevaux et sur les indications de ce dernier parti à la recherche de son parrain. Elle devait le voir, l'entendre, ils devaient parler, Anne-Sophie savait qu'elle ne s'autoriserait à rien sans le voir.
L'échange avait réussi, voilà plusieurs heures qu'Anne-Sophie avait quitté le château, elle se détendait lentement oubliant les évènements récents. Son côté enfantin enfin libre, elle riait en faisant la traite des vaches, elle avait appris à casser des oeufs plus tôt, des choses amusantes pour elle qui découvrait.
Quand elle sentit une main sur son épaule elle se tourna et vit la mine déconfite de François, son sang se glaça.
Qui a t'il ?
Madame, un malheur est arrivé au château vous devez rentrer au plus vite et reprendre votre place.
François quel malheur dites-moi ? Vite dites-moi !!!
Le jeune homme hésita un instant puis lui répondit
Madame, votre parrain vous réclame à ses côtés, votre père est mort... J'ai dû puissiez vous un jour me pardonner, mais j'ai dû lui dire où vous étiez.
La jeune fille entendit les mots, ils résonnèrent dans sa tête, elle serra les poings, mais pas une larme ne sortie de son petit corps. Elle resta là quelques instants sans bouger puis se leva, elle s'adressa à la mère de François
Je vous remercie vous et votre famille pour tout ce que vous avez fait pour moi, je vous suis redevable et je m'en souviendrais soyez en surs.
Elle se retourna vers son garde et ami
Ne dites pas de bêtises, vous m'avez aidé et soutenue, l'heure est grave, vous savez que certains réclameront votre tête je les en empêcherais ! Pour le moment rentrons, nous pourrons arriver avant la nuit.
Elle salua tout le monde une dernière fois et monta à cheval attendant François qui la rejoignit vite. Ils partirent au galop direction le palais, le malheur et les ennuis, le passé la rattrapée encore une fois un peu trop vite.
Une fois arrivés, Anne-Sophie chargea François de donner des ordres pour les chevaux et sur les indications de ce dernier parti à la recherche de son parrain. Elle devait le voir, l'entendre, ils devaient parler, Anne-Sophie savait qu'elle ne s'autoriserait à rien sans le voir.
Anne-Sophie de France- Messages : 9
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